• Barbara, Marin et Adélie, pour l’usage que j’ai pu faire dans ce récit des contributions écrites qu’ils avaient réalisées pour le blog de notre voyage, au cours de celui-ci.
Et, bien entendu, pour tant d’autres choses bien plus importantes, mais que je garde secrètes…
• Timothée, mon fils aîné, pour nous avoir rejoints à 3 reprises à l’autre bout du monde, en jouant à chaque fois le sherpa… Il a accepté un départ difficile. Il m’a souvent manqué. Je suis plus proche de lui aujourd’hui.
• Mes parents, sans lesquels rien de tout cela ne serait arrivé. Ma mère, partie il y a déjà 28 ans, et mon père, il y a 6 ans, qui, à 90 ans, a suivi avec attention notre voyage.
• Liliane, maman de Timothée, pour sa présence pendant mon absence.
• Pierre et Geneviève, fidèles amis rochelais qui ont joué tour à tour et tout au long de notre voyage, avec un dévouement qui ne s’est jamais démenti, les référents, les dépositaires, les intermédiaires, les administrateurs civils, les fournisseurs, les postiers, les gérants délégués, les destinataires de chèques en blanc, les confidents, et peut-être même les usurpateurs d’identité en service commandé.
. Isabelle Autissier, pour avoir préfacé la nouvelle édition du livre "Voyage autour du Monde..."
• Vincent, webmaster attitré du voyage de Jangada et de son blog (fermé depuis).
• Louis, notre base avancée chez CLS Argos, également prévisionniste météo occasionnel, fournisseur démerdard de pièces de rechange et équipier des legs Cap Vert-Açores-Espagne au retour.
• La Société toulousaine CLS Argos et sa filiale Novacom, fournisseurs de la balise du même nom (qui a parfaitement fonctionné sans interruption pendant 3 ans) et des services de positionnement associés, tout autour du monde.
• Gérard et Nicole, pour les échanges de maisons néo-zélandaises et le transport de spares.
• Jean-Vivien, créateur de notre blog de voyage.
• PJLS, alias Pierre, père de Geneviève, que je n’ai hélas jamais rencontré, pour ses envois fidèles, à l’autre bout du monde, du Jeu des Mille Euros (retranscrit jour après jour).
• Bernard Henry, pour m’avoir fait rencontrer Barbara, pour ses images et pour ses encouragements à rédiger et à publier ce récit.
• Marie-José, pour ses corrections.
• Hervé et Marie Nieutin, auteurs d’ Histoires de Partir, pour leurs conseils avisés en matière d’auto-édition.
• Jean-Christophe Guillaumin, rédacteur en chef de Multicoques Magazine, pour ses conseils expérimentés, et son assistance à la diffusion.
• Tous ceux que j’oublie, mais qui ne le méritent pas.
• Le Comte Louis-Antoine de Bougainville, pour m’avoir autorisé, moi modeste marin, à utiliser le même titre de récit de voyage que lui, 243 ans plus tard (1771). Nul doute qu’il ne m’en veut pas, et qu’il aurait aimé boire un verre avec moi pour savoir comment les choses avaient changé, là-bas, dans les Mers du Sud.
• Notre voilier (et même accessoirement son capitaine), pour nous avoir tous ramenés à bon port, sains et saufs.
• La mer, le vent, et les dieux de l’océan, pour avoir accepté seulement de nous laisser passer…